Les Viêt kiêu construisent des ponts dans les régions reculées - 22/09/2008
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L'accident de bac, qui s'est produit en janvier dernier sur le canal de Thach My et qui a provoqué la mort de 5 élèves du collège de Ngoc Tô, district de My Xuyên, province de Soc Trang (delta du Mékong), est toujours dans nos mémoires. D'autant plus que la vie quotidienne de 950 familles de cette commune de Ngoc Tô est rythmée par les bacs. Chaque jour, plus de 500 écoliers du primaire doivent traverser la rivière pour aller à l'école. Une semaine après cet accident, un groupe de Viêt kiêu (Vietnamiens résidant à l'étranger) a décidé de construire 3 ponts en béton pour cette commune. Au cours de 3 mois de mars à mai, 3 ponts d'une longueur respective de 35 m, de 29 m et 31 m ont été mis en service. Pour Pham Thanh Tang, recteur du collège de la commune, tous les enseignants, parents et élèves sont "satisfaits" car, grâce à ces ponts, les enfants peuvent aller plus facilement à l'école. L'ingénieur Nguyên Van Công, représentant de ce groupe de Viêt kiêu, explique : "Notre programme contribuera à protéger la vie des enfants, futurs maîtres du pays". Ces dernières années, il a rassemblé des Vietnamiens des États-Unis, de France, du Japon et du Canada..., pour construire des ponts en béton dans les régions reculées du pays. En 4 ans, ils ont construit 75 ponts en béton dans 43 communes de 10 provinces du delta du Mékong. Le premier pont de ce programme, d'une longueur de 25 m, a été construit en 2004, facilitant ainsi la circulation d'un millier de foyers des communes de Da Phuoc Hôi et An Thoi, district de Mo Cày, province de Bên Tre.Et la bonne action fait tache d'huile, des Viêt kiêu du monde entier s'intéressent à l'aide de ces régions en situation difficile. La famille de Ba Boniface aux Antilles en est un exemple. Venu au Vietnam avec un ami, pour inaugurer un pont de 24 m de long dans le district de Mang Thit, province de Vinh Long, il a décidé d'offrir à ce district un 2e pont. En avril dernier, ce pont de 38,5 m de long a été ouvert en circulation. "Je suis très heureux d'inaugurer cet ouvrage qui contribue à améliorer les conditions de vie pour les habitants locaux", confie M. Ba.Actuellement, ce groupe de Viêt kiêu envisage de construire 51 ponts à la demande de 42 communes du delta du Mékong.Huong Linh/CVN(21/09/2008)
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jeudi 25 septembre 2008
premiere etude notariale privé
Ouverture de la première étude notariale privée à Hô Chi Minh-Ville - 24/09/2008
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La première étude privée de notaires de Hô Chi Minh-Ville, de Maître Nguyên Thi Tac, vient d'ouvrir officiellement au 9A, rue de Quang Trung, 10è quartier, arrondissement de Go Vâp. Dès la première journée de travail, elle a reçu 23 dossiers dont la plupart touchent au foncier et à l'immobilier.
>> Des cabinets privés de notariat à Hô Chi Minh-Ville Le bureau en a traité 10, le reste devant suivre une procédure de publication officielle. L'exercice de la profession est facilité grâce à la connexion de cette étude au réseau d'archives du Service municipal de la justice."Nous faisons concurrence aux bureaux d'État de par la conception des services que nous offrons à notre clientèle et notre professionnalisme", déclare Maître Nguyên Thi Tac, ancien chef d'un bureau de notariat d’État. Sur ce point, elle ajoute que "nos 2 priorités essentielles, c'est que notre client soit à l'aise et que leurs dossiers seront réglés rapidement et avec compétence". Passé les premières journées, l'avis général de la clientèle est une satisfaction au regard "du temps économisé après avoir eu recours à ses services". En moyenne, cette première étude privée reçoit quotidiennement 10 clients, mais Maître Nguyên Thi Tac avoue toutefois sa confiance en l'avenir car "il y a déjà des clients qui nous cherchent". D'ici la fin du mois de septembre, elle proposera, entre autres, des services de consultation juridique gratuites à ses clients. Cette étude privée est l'une des 8 à avoir obtenu la licence d'activité dans la mégapole du Sud. À Hanoi, sur les 19 études notariales ayant reçu une licence, une quinzaine sont opérationnelles. "Leur existence a été permise par une politique juste et présentant de grands avantages pour la population", déclare Maître Phan Van Cheo, chef d'une autre étude notariale de Hô Chi Minh-Ville. "Ces études existent parallèlement à celles publiques, ce qui génère une concurrence, donc une amélioration de la qualité des services au profit de la clientèle", déclare-t-il. Qualité des services notariaux est un point souvent abordé au regard du coût de création d'une étude, de l'ordre de 100 millions de dôngs. Maître Phan Van Cheo affirme que les clients s'adressent toujours à une étude privée pour bénéficier d'une estimation "au plus juste" de la valeur de leurs biens. Partageant l'avis de ses confrères, ce notaire considère également que l'une des difficultés de la profession tient au manque "d'un système complet d'archives". Prenant l'exemple de la certification du statut d'un bien immobilier, "faute d'archives sur chaque terrain ou maison, déterminer s'il y a une hypothèque ou non s'avère très problématique", dit-il. Autre lacune, le défaut de concordance des textes législatifs, toujours d'après Maître Phan Van Cheo, ce qui "ne sera résolu que par la compétence et la promptitude de notaires expérimentés".Actuellement, les échanges commerciaux ne sont pas encore très importants, le nombre de transactions immobilières et d'opérations de prêts bancaires demeure modeste. Ainsi, selon Maître Phan Van Cheo, les études notariales publiques ne reçoivent que la moitié des dossiers qu'elles ont traités l'année passée. Hoàng Mai/CVN(24/09/2008)
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La première étude privée de notaires de Hô Chi Minh-Ville, de Maître Nguyên Thi Tac, vient d'ouvrir officiellement au 9A, rue de Quang Trung, 10è quartier, arrondissement de Go Vâp. Dès la première journée de travail, elle a reçu 23 dossiers dont la plupart touchent au foncier et à l'immobilier.
>> Des cabinets privés de notariat à Hô Chi Minh-Ville Le bureau en a traité 10, le reste devant suivre une procédure de publication officielle. L'exercice de la profession est facilité grâce à la connexion de cette étude au réseau d'archives du Service municipal de la justice."Nous faisons concurrence aux bureaux d'État de par la conception des services que nous offrons à notre clientèle et notre professionnalisme", déclare Maître Nguyên Thi Tac, ancien chef d'un bureau de notariat d’État. Sur ce point, elle ajoute que "nos 2 priorités essentielles, c'est que notre client soit à l'aise et que leurs dossiers seront réglés rapidement et avec compétence". Passé les premières journées, l'avis général de la clientèle est une satisfaction au regard "du temps économisé après avoir eu recours à ses services". En moyenne, cette première étude privée reçoit quotidiennement 10 clients, mais Maître Nguyên Thi Tac avoue toutefois sa confiance en l'avenir car "il y a déjà des clients qui nous cherchent". D'ici la fin du mois de septembre, elle proposera, entre autres, des services de consultation juridique gratuites à ses clients. Cette étude privée est l'une des 8 à avoir obtenu la licence d'activité dans la mégapole du Sud. À Hanoi, sur les 19 études notariales ayant reçu une licence, une quinzaine sont opérationnelles. "Leur existence a été permise par une politique juste et présentant de grands avantages pour la population", déclare Maître Phan Van Cheo, chef d'une autre étude notariale de Hô Chi Minh-Ville. "Ces études existent parallèlement à celles publiques, ce qui génère une concurrence, donc une amélioration de la qualité des services au profit de la clientèle", déclare-t-il. Qualité des services notariaux est un point souvent abordé au regard du coût de création d'une étude, de l'ordre de 100 millions de dôngs. Maître Phan Van Cheo affirme que les clients s'adressent toujours à une étude privée pour bénéficier d'une estimation "au plus juste" de la valeur de leurs biens. Partageant l'avis de ses confrères, ce notaire considère également que l'une des difficultés de la profession tient au manque "d'un système complet d'archives". Prenant l'exemple de la certification du statut d'un bien immobilier, "faute d'archives sur chaque terrain ou maison, déterminer s'il y a une hypothèque ou non s'avère très problématique", dit-il. Autre lacune, le défaut de concordance des textes législatifs, toujours d'après Maître Phan Van Cheo, ce qui "ne sera résolu que par la compétence et la promptitude de notaires expérimentés".Actuellement, les échanges commerciaux ne sont pas encore très importants, le nombre de transactions immobilières et d'opérations de prêts bancaires demeure modeste. Ainsi, selon Maître Phan Van Cheo, les études notariales publiques ne reçoivent que la moitié des dossiers qu'elles ont traités l'année passée. Hoàng Mai/CVN(24/09/2008)
typhon hagupit
Typhon Hagupit : des mesures d'urgence pour éviter une catastrophe - 25/09/2008
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Selon le Centre national de météorologie et d'hydrologie, le typhon Hagupit a atteint le Nord le 24 septembre dans la soirée. Conséquence, des pluies torrentielles accompagnées de vents violents se sont abattues sur toute la région.
>> Le typhon Hagupit aborderait les côtes ce soir
>> Le typhon Hagupit causerait des pluies en fin de semaine Dans les prochaines heures, ce typhon se déplacerait vers les terres en direction de l'ouest à la vitesse d'environ 20 km/h. Toutefois, en quittant le littoral, Hagupit devrait s'affaiblir et se transformer en pression tropicale. Selon les prévision, à 13h00 vendredi, cette pression tropicale devrait se situer à environ 21,8º de l'attitude Nord et à 102,6º de longitude Est, non loin de la zone frontalière entre le Vietnam et le Laos. Lors de la session extraordinaire du Comité de pilotage de prévention et de lutte contre les typhons, le 24 septembre, le vice-Premier ministre Nguyên Sinh Hùng a souligné que Hagupit est un typhon d'une rare violence qui se déplace rapidement. Il a également appelé les ministères et services concernés, ainsi que les provinces risquant d'être touchées par le typhon à prendre d'urgence des mesures pour faire face à la situation. Il les a également exhortés à organiser le déplacement des habitants vivant dans les régions à risque des 8 provinces et villes montagneuses du Nord-Est et du Viêt Bac avant 18h00. Les autorités des localités concernées ont déployé un plan d'évacuation d'urgence et ont tout fait pour assurer la sécurité des habitants et des touristes. Les 154 bateaux qui se trouvaient en mer le 24 septembre, ont été avertis de l'imminence du danger et sommés de se mettre à l'abri. Mai Huong/CVN (25/09/2008)
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Selon le Centre national de météorologie et d'hydrologie, le typhon Hagupit a atteint le Nord le 24 septembre dans la soirée. Conséquence, des pluies torrentielles accompagnées de vents violents se sont abattues sur toute la région.
>> Le typhon Hagupit aborderait les côtes ce soir
>> Le typhon Hagupit causerait des pluies en fin de semaine Dans les prochaines heures, ce typhon se déplacerait vers les terres en direction de l'ouest à la vitesse d'environ 20 km/h. Toutefois, en quittant le littoral, Hagupit devrait s'affaiblir et se transformer en pression tropicale. Selon les prévision, à 13h00 vendredi, cette pression tropicale devrait se situer à environ 21,8º de l'attitude Nord et à 102,6º de longitude Est, non loin de la zone frontalière entre le Vietnam et le Laos. Lors de la session extraordinaire du Comité de pilotage de prévention et de lutte contre les typhons, le 24 septembre, le vice-Premier ministre Nguyên Sinh Hùng a souligné que Hagupit est un typhon d'une rare violence qui se déplace rapidement. Il a également appelé les ministères et services concernés, ainsi que les provinces risquant d'être touchées par le typhon à prendre d'urgence des mesures pour faire face à la situation. Il les a également exhortés à organiser le déplacement des habitants vivant dans les régions à risque des 8 provinces et villes montagneuses du Nord-Est et du Viêt Bac avant 18h00. Les autorités des localités concernées ont déployé un plan d'évacuation d'urgence et ont tout fait pour assurer la sécurité des habitants et des touristes. Les 154 bateaux qui se trouvaient en mer le 24 septembre, ont été avertis de l'imminence du danger et sommés de se mettre à l'abri. Mai Huong/CVN (25/09/2008)
lundi 8 septembre 2008
economie investissement
Vietnam Economie Investissement
Rôle des investissements vietnamiens à l'étranger - 08/09/2008
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En cette époque d'intégration à l'économie mondiale, les investissements vietnamiens à l'étranger constituent un moyen tant efficace qu'indispensable pour le développement durable de l'économie nationale. Tel était le constat des participants à la conférence sur l'intensification des investissements à l'étranger, organisée le 5 septembre à Hô Chi Minh-Ville par le ministère du Plan et de l'Investissement. Selon le Département de l'investissement étranger dudit ministère, les investissements vietnamiens à l'étranger battent leur plein et les entreprises vietnamiennes sont de plus en plus nombreuses à se tourner vers l'étranger pour développer leurs affaires. Le cadre juridique des investissements à l'étranger a été perfectionné pour l'essentiel, et les formalités administratives s'y rapportant ont été simplifiées pour faciliter de telles opérations des entreprises.À ce jour, le Vietnam compte 317 projets à l'étranger cumulant 2,5 milliards de dollars, dont un milliard ont été décaissés. Ces projets se concentrent essentiellement dans l'industrie et la construction (136 projets, 1,75 milliard de dollars). Viennent ensuite les services et l'agriculture.En 2 décennies, les entreprises vietnamiennes ont réussi à faire leur entrée dans 35 pays et territoires des 5 continents. Le Laos arrive en tête avec 123 projets totalisant 1,28 milliard de dollars, suivi de la Malaisie (7 projets, 162,89 millions de dollars) et du Cambodge (34 projets, 153,13 millions de dollars). Le gouvernement vietnamien considère les investissements à l'étranger comme un moyen important dans son processus d'intégration à l'économie mondiale. Cette activité crée des avantages concurrentiels, améliore la productivité, permet de trouver de nouvelles ressources de matières premières, de limiter la pollution de l'environnement et d'élargir les débouchés au profit du développement de l'économie nationale.Pour encourager les investisseurs vietnamiens à investir à l'étranger, les conférenciers ont proposé nombre de mesures dont le perfectionnement du système juridique et des politiques en la matière, l'assistance en capitaux et l'octroi de privilèges fiscaux pour les projets censés avoir une influence positive sur le développement économique national, etc.Trung KHanh-Vuong Linh/CVN(08/09/2008)
Rôle des investissements vietnamiens à l'étranger - 08/09/2008
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En cette époque d'intégration à l'économie mondiale, les investissements vietnamiens à l'étranger constituent un moyen tant efficace qu'indispensable pour le développement durable de l'économie nationale. Tel était le constat des participants à la conférence sur l'intensification des investissements à l'étranger, organisée le 5 septembre à Hô Chi Minh-Ville par le ministère du Plan et de l'Investissement. Selon le Département de l'investissement étranger dudit ministère, les investissements vietnamiens à l'étranger battent leur plein et les entreprises vietnamiennes sont de plus en plus nombreuses à se tourner vers l'étranger pour développer leurs affaires. Le cadre juridique des investissements à l'étranger a été perfectionné pour l'essentiel, et les formalités administratives s'y rapportant ont été simplifiées pour faciliter de telles opérations des entreprises.À ce jour, le Vietnam compte 317 projets à l'étranger cumulant 2,5 milliards de dollars, dont un milliard ont été décaissés. Ces projets se concentrent essentiellement dans l'industrie et la construction (136 projets, 1,75 milliard de dollars). Viennent ensuite les services et l'agriculture.En 2 décennies, les entreprises vietnamiennes ont réussi à faire leur entrée dans 35 pays et territoires des 5 continents. Le Laos arrive en tête avec 123 projets totalisant 1,28 milliard de dollars, suivi de la Malaisie (7 projets, 162,89 millions de dollars) et du Cambodge (34 projets, 153,13 millions de dollars). Le gouvernement vietnamien considère les investissements à l'étranger comme un moyen important dans son processus d'intégration à l'économie mondiale. Cette activité crée des avantages concurrentiels, améliore la productivité, permet de trouver de nouvelles ressources de matières premières, de limiter la pollution de l'environnement et d'élargir les débouchés au profit du développement de l'économie nationale.Pour encourager les investisseurs vietnamiens à investir à l'étranger, les conférenciers ont proposé nombre de mesures dont le perfectionnement du système juridique et des politiques en la matière, l'assistance en capitaux et l'octroi de privilèges fiscaux pour les projets censés avoir une influence positive sur le développement économique national, etc.Trung KHanh-Vuong Linh/CVN(08/09/2008)
lundi 25 août 2008
l'orfévrerie de huê
L’orfèvrerie de Huê

Trân Huu Nhon fond de l’or selon un procédé hérité de ses ancêtres. Un jeu de gobelets de bronze incrustés d’argent de la Cour de Huê.Presse-papiers en argent de la dynastie des Nguyên (1820-1945). Lentement, le chef d’une famille d’orfèvres, M. Trân Huu Nhon, 75, ans, nous montre ses vieux instruments de travail : petite balance de précision pour métaux précieux, lime à main, lampe à huile d’arachide, soufflet de forge… Initié à ce métier dès son jeune âge, son plus grand souhait est de voir se conserver et se perpétuer ce métier traditionnel qui risque de disparaître. « L’orfèvrerie fut restaurée au début de la dynastie des Nguyên (1820-1945). Peu avant la chute du régime féodal, l’artisan Nguyên Huu Tuong (1883-1969), orfèvre No1 de la Cour impériale, s’est vu confier la tâche de fabriquer des objets précieux comme sceaux et livres en or, chapeaux incrustés d’argent, d’or ou de jade, d’habiller le roi et les mandarins. Un grand nombre de ces objets sont exposés au Musée des Beaux-Arts dans le palais royal de Huê » , nous explique-t-il.
Depuis que Huê n’est plus capitale, ses orfèvres ont étendu leur rayon d’action à tout le pays. Utilisant or, argent et pierres précieuses, ils fabriquent des bijoux (bracelets, colliers, chaînes, bagues, boucles d’oreille, diadèmes…), objets de table (argenterie, vaisselle, ustensiles…) ou d’autres à usage domestique (vase, boîtes à bijoux incrustées d’or ou d’argent) …

Pièces d’orfèvrerie confectionnées par des artisans de Huê.
Travaillant à la main et avec des outils rudimentaires, ils réalisent de vraies oeuvres d’art comme les panneaux représentant les quatre animaux sacrés (dragon, licorne, tortue, phénix ou les huit objets précieux, à savoir courge, capuchon de pinceau, flûte, luth à quatre cordes, orchidée, épée, gong, plumeau…). Les scènes de la vie des Huéens se perpétuent grâce au talent de ces orfèvres de l’ancienne cité impériale.
Texte: Vinh Hưng - Photos: Dinh Công Hoan

Trân Huu Nhon fond de l’or selon un procédé hérité de ses ancêtres. Un jeu de gobelets de bronze incrustés d’argent de la Cour de Huê.Presse-papiers en argent de la dynastie des Nguyên (1820-1945). Lentement, le chef d’une famille d’orfèvres, M. Trân Huu Nhon, 75, ans, nous montre ses vieux instruments de travail : petite balance de précision pour métaux précieux, lime à main, lampe à huile d’arachide, soufflet de forge… Initié à ce métier dès son jeune âge, son plus grand souhait est de voir se conserver et se perpétuer ce métier traditionnel qui risque de disparaître. « L’orfèvrerie fut restaurée au début de la dynastie des Nguyên (1820-1945). Peu avant la chute du régime féodal, l’artisan Nguyên Huu Tuong (1883-1969), orfèvre No1 de la Cour impériale, s’est vu confier la tâche de fabriquer des objets précieux comme sceaux et livres en or, chapeaux incrustés d’argent, d’or ou de jade, d’habiller le roi et les mandarins. Un grand nombre de ces objets sont exposés au Musée des Beaux-Arts dans le palais royal de Huê » , nous explique-t-il.

Depuis que Huê n’est plus capitale, ses orfèvres ont étendu leur rayon d’action à tout le pays. Utilisant or, argent et pierres précieuses, ils fabriquent des bijoux (bracelets, colliers, chaînes, bagues, boucles d’oreille, diadèmes…), objets de table (argenterie, vaisselle, ustensiles…) ou d’autres à usage domestique (vase, boîtes à bijoux incrustées d’or ou d’argent) …

Pièces d’orfèvrerie confectionnées par des artisans de Huê.
Travaillant à la main et avec des outils rudimentaires, ils réalisent de vraies oeuvres d’art comme les panneaux représentant les quatre animaux sacrés (dragon, licorne, tortue, phénix ou les huit objets précieux, à savoir courge, capuchon de pinceau, flûte, luth à quatre cordes, orchidée, épée, gong, plumeau…). Les scènes de la vie des Huéens se perpétuent grâce au talent de ces orfèvres de l’ancienne cité impériale.
Texte: Vinh Hưng - Photos: Dinh Công Hoan
LE SYMBOLE LONGEVITE DANS LA VIE DES VIET
Le symbole “ Longévité ” dans la vie des Viêt

Le symbole “ Longévité ”est gravé sur la porte principale de la Pagode au pilier unique.
Le motif “Longévité” se retrouve souvent dans la décoration intérieure de l’habitat Viêt.
Le symbole “ Longévité ” se retrouve aussi sur les soieries actuelles ou anciennes.
Depuis des temps immémoriaux , le symbole “Longévité” est considéré chez les Viêt comme un symbole important de santé, de longévité. Ce motif stylisé peut se voir partout, par exemple sur les objets en métal, en bois, en pierre, en jade, les porcelaines, les vases, les objets de décoration intérieure, les bijoux et les vêtements, et même sur la tenue des souverains et de la famille royale.
De nos jours, ce symbole est utilisé comme un motif décoratif.
Le motif “Longévité” stylisé en carré ou rond traité avec des lignes droites, courbes, bien proportionnées est très esthétique comme motif décoratif sur murs ou fenêtres. Ceux d’un style tarabiscoté conviennent aux gravures et ciselures sur bois ou bronze. On peut voir ces caractères même sur les objets les plus petits tels que lampes fixées au mur, oreillers…
En outre, selon la conception des Viêt, le symbole protège l’homme des accidents, crée de l’énergie et l’aide à conserver une bonne santé.

Le symbolee “ Longévité ” en rond, ou rectangle, utilisé dans l’architecture des maisons Viêt apporte une touche esthétique.
Texte: Trân Tri Công - Photos: Dinh Công Hoan

Le symbole “ Longévité ”est gravé sur la porte principale de la Pagode au pilier unique.
Le motif “Longévité” se retrouve souvent dans la décoration intérieure de l’habitat Viêt.
Le symbole “ Longévité ” se retrouve aussi sur les soieries actuelles ou anciennes.
Depuis des temps immémoriaux , le symbole “Longévité” est considéré chez les Viêt comme un symbole important de santé, de longévité. Ce motif stylisé peut se voir partout, par exemple sur les objets en métal, en bois, en pierre, en jade, les porcelaines, les vases, les objets de décoration intérieure, les bijoux et les vêtements, et même sur la tenue des souverains et de la famille royale.

De nos jours, ce symbole est utilisé comme un motif décoratif.
Le motif “Longévité” stylisé en carré ou rond traité avec des lignes droites, courbes, bien proportionnées est très esthétique comme motif décoratif sur murs ou fenêtres. Ceux d’un style tarabiscoté conviennent aux gravures et ciselures sur bois ou bronze. On peut voir ces caractères même sur les objets les plus petits tels que lampes fixées au mur, oreillers…
En outre, selon la conception des Viêt, le symbole protège l’homme des accidents, crée de l’énergie et l’aide à conserver une bonne santé.

Le symbolee “ Longévité ” en rond, ou rectangle, utilisé dans l’architecture des maisons Viêt apporte une touche esthétique.
Texte: Trân Tri Công - Photos: Dinh Công Hoan
dimanche 24 août 2008
la danse du tambour
La danse du tambour Du

Les danseurs du tambour Du en tournée.
Discussion dans le groupe pour l’élaboration d’un nouveau programme de représentation.
La danse du tambour Du, un genre artistique folklorique des Muong du district de Yên Lâp à Phu Tho.
Des danseurs chevronnés.
Des mouvements exécutés avec brio. La danse du tambour Du est indispensable dans les activités culturelles de l’ethnie minoritaire Muong du district de Yên Lâp, province de Phu Tho. On l’utilise à l’occasion des festivités, des cérémonies pour obtenir une bonne récolte, d’installation d’une famille dans un nouveau logement… La danse et la musique qui l’accompagnent expriment les aspirations au bonheur familial, le désir de vivre en bonne entente avec les voisins, de faire le bien autour de soi…
La danse du tambour Du s’inspire d’une triste histoire. Jadis, vivait heureux un couple de Muong. Un jour, la femme tombe gravement malade et meurt. Le mari, inconsolable, souffre cruellement de cette perte tandis que son enfant ne cesse de crier l’absence de sa mère. Le père achète alord un tambour qu’il fait résonner tout en dansant pour calmer le garçon. Lorsque le père meurt à son tour, son fils de nouveau fit résonner le tambour aux funérailles. Avec le temps, l’appellation tambour Du vient s’ajouter au parler des Muong. Les sons du tambour n’expriment pas seulement la douleur qu’on éprouve à la mort de ses proches, ils composent une musique de danse devenue indispensable dans toutes les activités culturelles des Muong du district de Yên Lâp.
Le tambour Du est une caisse cylindrique de 30 cm de diamètre sur laquelle est tendue une peau de buffle, et de 45 cm de haut. Au début, la danse est exécutée par deux personnes, l’une représentant le père, l’autre l’enfant. Plus tard, d’autres viennent s’ajouter au couple. Les danseurs comprennent un joueur de gros tambour, un autre d’instrument à vent, un 3e de petit tambour, un sonneur de tocsin et un joueur de claquettes. L’homme maniant le gros tambour est l’âme de la danse, un virtuose. Il conduit la marche. La danse du tambour Du ne demande pas seulement un haut niveau artistique, le danseur doit aussi être fort, résistant, agile, il doit ressentir très profondément la signification de la danse et ses mouvements doivent traduire tous les sentiments humains.
Pour commencer, l’homme au gros tambour se présente devant le public en s’inclinant, puis il fait rouler trois fois son tambour. A ce signal, les danseurs apparaissent sur la scène. L’homme au gros tambour continue à faire résonner son instrument pour marquer le rythme. Il se couche sur le dos, tourne sur lui-même, jette le tambour en l’air et le rattrape avec ses pieds, effectuant des mouvements complexes avec tout le corps. Sur la scène, il porte une veste rouge, un pantalon rose, une ceinture verte et un turban. Les autres danseurs sont vêtus de brun, ceinture et turban de couleur rouge…
Texte: Nguyễn Tuấn Long - Photos: An Thành Đạt
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HO CHI MINH ville ou ex SAIGON - Ma-Tvideo France2
lla vie au quotidien de la capitale du viet-nam du sud avec le temple chinois le marche central
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